CENTRAFRIQUE NEWS EXPRESS

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PETITES ANNONCES


Centrafrique : report du Forum de Bangui

La concertation intercentrafricaine se tiendra plutôt du 04 mai au 11 Mai 2015, selon un décret que la présidente de la transition a publié mercredi.

 

 

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Le report intervient en raison du calendrier du médiateur international de la crise centrafricaine, le président congolais Denis Sassou Nguesso, qui ne pourra pas assister à ces assises à la date initiale.

Par ailleurs, le mouvement  Anti-Balaka, dément toute participation aux enlèvements des bergers musulmans de l’ethnie peule dont la plupart sont des femmes et des enfants.

 

Igor Berenger Lamaka joint par Felix Yepassis-Zembrou

 

 

 

Selon, le porte-parole des Anti-Balakas, Igor Berenger Lamaka, ces actes sont attribués à des bandits de grand chemin. M. Lamaka a maintenu les revendications des Anti-Balakas quant à leur participation au forum de Bangui.  

 

VOA Afrique


22/04/2015
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Alors que les armes tuent encore en Centrafrique: exprimez votre solidarité et informez-vous

 

 

 

 

 

Affiche 4.jpg

 

 

 

Le comité du Mouvement de la Paix de Carrières, Poissy, Achères apporte son aide à EOCA pour cet acte de solidarité avec les orphelins de Centrafrique avec la présence de Victor Bissengué et d'une amie de retour de Bangui on ne parle plus de ce pays mais chaque jour les armes sont en action...

 


10/04/2015
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« La cour de cassation a reconnu Alexandre Goumba comme seul et unique président du front patriotique pour le progres (fpp) »

Cette forte déclaration s’est faite le samedi 20 décembre 2014 lors d’une conférence de presse présidée par Alexandre Goumba à l’Hôtel Ledger-Plaza à Bangui.

 

 

GOUMBA.jpg

 

En effet, après avoir remercié sincèrement tous les participants, celui-ci a fait savoir dans son discours que la Cour de Cassation a rejeté le mercredi 19 novembre 2014, le pourvoi formé par le ministère de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et de la Régionalisation contre le FPP dont il demandait la dissolution. Par ce rejet, la Cour de Cassation a reconnu Alexandre Goumba comme seul et unique Président du FPP. Il en profite pour souligner le comportement exemplaire des magistrats dans la gestion de ce contentieux en leur étant profondément reconnaissant. Pour lui, l’objet de cette conférence n’est pas de faire un rapport sur les raisons et les explications de ce long conflit, qui, à ses yeux est sans intérêt face à la situation dramatique dans laquelle la RCA est plongée, ni de donner des leçons à qui que ce soit. Ce qui compte pour le FPP, c’est la fin du conflit et non le conflit lui-même. Avec la paix et la quiétude retrouvées, le FPP se place désormais dans l’orbite de la reconstruction. Reconstruction de ce qui a été détruit.

Le 09 juillet 2006, au lendemain du 1er congrès du Parti, un programme de réformes devait aller dans le sens d’une décentralisation de la gestion et de l’administration du parti. « Nous n’avons pas pu le faire en raison de cette très longue crise qui a duré neuf (9) années. Comment reformer le FPP tout en préparant en même temps les échéances électorales de 2015 ? La RCA est en proie à des violences qui ébranlent son socle. Ces violences sont la manifestation d’une crise de société qui couvait depuis l’accession de notre pays à l’indépendance en 1960. » Le stade le plus grave de cette crise, a éclaté, selon ce dernier, dans sa partie visible en 2013 et qui a atteint un pic avant de baisser avec l’intervention massive et salutaire de la Communauté internationale pour sauver la RCA, pour des raisons humanitaires et sécuritaires Le conflit, ce conflit est condamné à une fin. Il s’arrêtera. Ce qui amène le FPP à mener des réflexions sur la sortie de crise, la fin de violence et la reconstruction de la RCA Ainsi, pour Alexandre Goumba, « le 19 novembre 2014 doit être pour notre parti, une date symbolique de son renouveau ».

En fait, pour lui, il est question de faire table rase du passé pour reconstruire et redynamiser le Parti en exploitant en bon escient la documentation garnie laissée en héritage par le fondateur du parti, feu Professeur Abel Goumba. Car dit-il, « oui, il est indéniable que le FPP doit se reconstruire, retrouver la place qu’il occupait avant 2005 (…) La documentation que nous a laissée le professeur Abel Goumba en la matière est énorme et impressionnante, grâce à sa grande expérience des joutes électorales. Il nous appartient d’en faire un bon usage ». Poursuivant son allocution, il a dit, le FPP appuie et appuiera tous les efforts déployée par l’Etat et la Communauté internationale. Le FPP n’ignore pas tous les problèmes de gestion et d’administration auxquels est confrontée au quotidien, la présidente de transition face à un peuple plongé en grande partie dans la pauvreté, la misère, l’ignorance, la peur, la bellicisme. Il salue son courage et sa force.

En somme, Alexandre Goumba, veut rallumer la flamme du parti. L’homme a été plus clair que limpide dans son discours et dans ses réponses aux questions face aux journalistes. La presse a noté une nette démarcation entre sa conception politique du pouvoir et celui des autres (pouvoiristes).

 

 

(Dossier à suivre)


23/12/2014
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ACTION POUR LA CENTRAFRIQUE/COMMUNIQUE DE PRESSE

« ACTIONS POUR LA CENTRAFRIQUE »
La Centrafrique a besoin de vous, Aidez nous à gravir les montagnes…
ACTIONS POUR LA CENTRAFRIQUE
21 avenue d’Orgemont,
92700 Colombes (France)
Email : cnl@actionspourlacentrafrique.org
 
                   COMMUNIQUE DE PRESSE
 
 
Référence : APCA-13-063
Email : contact@actionspourlacentrafrique.org
 
Le fonds de dotation ACTIONS POUR LA CENTRAFRIQUE (A.P.C.A.) a l’honneur de vous inviter au forum organisé sur la crise en Centrafrique le
 
                    samedi 23 novembre 2013 de 14:00 à 18:00 au Viaduc Café, 43 avenue Daumesnil – 75012 PARIS.
 
Aujourd’hui, en plus de la situation sécuritaire catastrophique s’ajoute une grave crise alimentaire qui semble être oubliée de tous. On estime à plus d’un million le nombre de personnes en danger et touchées par des problèmes d’alimentation.
Ce forum sera l’occasion pour les participants de traiter les problématiques suivantes :
  • Bilan des actions réalisées sur le plan humanitaire et alimentaire.
  • Les principales attentes de la population en détresse identifiées à ce jour.
  • L’assistance aux populations touchées par la crise alimentaire.
  • Les points de blocage actuel pour une aide massive sécuritaire et humanitaire.
  • Les actions potentielles proposées par le fonds de dotation pour contribuer à la résolution de cette crise humanitaire.
Ce « Forum sur la crise en Centrafrique » sera l’occasion de s’informer sur les actions menées par les ONGs comme ACF, MSF, et bien d’autres ainsi que les organisations centrafricaines comme, le fonds de dotation I LÖNDO! dans sa recherche de solutions pour le retour de la sécurité, ainsi que le fonds de dotation ACTIONS POUR LA CENTRAFRIQUE pour la recherche de solutions dans le domaine humanitaire.
 
 
L’équipe de coordination
ACTIONS POUR LA CENTRAFRIQUE
contact@actionspourlacentrafrique.org

04/11/2013
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"I Londo": Un Fond pour la Mobilisation sur La Crise Centrafricaine

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Présentation du fond de dotation pour la RCA: I Londo

 

Face à la crise humanitaire et sécuritaire que subit la République Centrafricaine depuis plusieurs années et qui s’est aggravée le 23 mars 2013, Nous, ressortissants centrafricains ou d’origine centrafricaine, nous sommes organisés au mois de mai 2013 au travers du fonds de dotation  « I LÖNDÖ ! » pour contribuer au retour de la sécurité dans notre pays.

 

L’état des lieux

Aujourd’hui, la République Centrafricaine  ne compte pas moins de trois foyers d’insécurité déclarés ou latents :

Depuis 2006, la LRA (Lord’s Resistance Army) sévit dans le nord-est du pays en s’attaquant à des populations de fermiers qui sont victimes de tueries, de tortures et d’esclavage domestique et sexuel. La LRA enrôle de force des enfants dans leurs rangs et  pratique le braconnage de la faune centrafricaine.

Depuis le coup de force de la SELEKA du 23 mars 2013, des mercenaires incontrôlés portent atteinte à la sécurité des biens et des personnes sur l’ensemble du territoire;  Les chiffres officiels attestent de nombreux cas de personnes tuées, blessées ou déplacées ainsi que d’enfants déscolarisés et de viols de femmes. Ces exactions sont perpétrées au motif de promesses de paiement non tenues de la part du commandement et des commanditaires du coup de force de la SELEKA.

Ce putsch aurait entrainé l’entrée sur le territoire centrafricain d’éléments djihadistes venant du Soudan.  Aujourd’hui, des villes comme celle de Yaloké (13000 habitants et située à 200 km de Bangui la capitale) seraient prises en otage et « administrées » par des éléments proches de la  mouvance soudanaise d’Al-Qaïda.

 

Les foyers de la LRA et de la SELEKA comptent environ 9000 hommes (8000 SELEKA et 700 LRA en Centrafrique). Le nombre exact des éléments djihadistes n’est pas connu.

D’autres foyers de rébellion sous-jacents qui concentrent notamment des éléments des anciens régimes ou des personnes désireuses de  se venger sont en train de voir le jour ici et là.

L’armée centrafricaine (les FACA) complètement démobilisée se trouve dans l’incapacité de répondre aux besoins sécuritaires du pays.

L’urgence de la situation est partagée et a été dénoncée par plusieurs organisations internationales ou non gouvernementales comme l’ONU (voir résolution 2088 de mai 2013) et le CRISIS GROUP (voir rapport du 11 juin 2013).

Le constat

 

La lutte contre le foyer de la SELEKA est devenue la priorité car ce dernier a entrainé le blocage de la lutte contre la LRA et engendré l’entrée d’éléments djihadistes dans le pays.

A l’heure actuelle, la crise de la SELEKA est gérée au niveau de la sous-région d’Afrique Centrale, et en dépit de la bonne volonté de chaque acteur impliqué, nous constatons le manque de capacités humaines et financières pour permettre un retour rapide et durable de la sécurité en Centrafrique : 8000 hommes pour la SELEKA d’un côté contre 3000 hommes pour les forces internationales (FACA, CEEAC et France) de l’autre côté. Si certains états de l’Afrique Centrale ont annoncé l’envoi de troupes supplémentaires, les moyens financiers adéquats ont du mal à être mobilisés.

 

Les risques identifiés

Les intérêts de la France et du monde occidental en Afrique sont la cible d’un terrorisme international lié aux réseaux djihadistes proches ou s’inspirant de la mouvance Al-Qaïda (Aqmi, Le Mujao ou encore Boko Haram)

Le foyer non déclaré du Djihad en Centrafrique, alimenté en partie par les combattants du Mali et de la Lybie, constitue le risque le plus important pour le monde occidental, l’Afrique et l’Asie. Certains observateurs ne manquent pas de noter que la stratégie du Djihad serait de faire de la République Centrafricaine  une base arrière, comme ce fut le cas en Afghanistan et au Mali, pour alimenter leurs actions terroristes à travers le monde.

La crise humanitaire et sécuritaire que traverse actuellement la République Centrafricaine  risque d’engendrer une  guerre civile du fait de la multiplication des groupes rebelles sur le territoire. Un conflit religieux intérieur est également à craindre depuis que des massacres ont été perpétrés par certains éléments de la SELEKA au seul motif de la non appartenance de leurs victimes à la religion musulmane.Certains musulmans centrafricains subissent également des dommages mais ont peur de les révéler et laissent ainsi s’imposer des positions plus fondamentalistes dans ce pays historiquement laïc.

A ces menaces s’ajoute le risque d’une crise écologique sans précédent dénoncée par WWF, les rebelles procédant au travers de leurs actions de braconnage à la destruction systématique de la faune protégée. Des effets néfastes directs et durables sur l’écotourisme, source non négligeable de revenus en Centrafrique, sont donc à craindre.

 

Nos demandes

Aujourd’hui, seule une force internationale conséquente peut garantir le retour de la sécurité en RCA. Le chantier est vaste : démobilisation des éléments mercenaires de la SELEKA, lutte contre la LRA, prévention du foyer djihadiste et prévention des rebellions intérieures sous-jacentes.

Nous souhaitons formuler à la France, déjà présente sur le terrain, les demandes suivantes : le renforcement de ses troupes à hauteur de 1000 hommes, l’élargissement de ses actions de protection des bâtiments et des ressortissants français à des actions de soutien au désarmement et au casernement des mercenaires de la SELEKA et l’intensification des programmes de formation des forces armées centrafricaines.

 

Par ailleurs, aux pays membres de la CEEAC, nous demandons de porter le nombre des troupes de la FOMAC à 4000 hommes.

A l’Union Africaine et à l’Afrique du sud, nous adressons une demande de mobilisation de 3000 hommes.

Au Gouvernement centrafricain, nous demandons de porter le nombre des FACA à 3000 hommes opérationnels.

Nous formulons également une demande à l’Organisation des Nations-Unies et l’Union Africaine afin de donner les moyens financiers et les mandats internationaux nécessaires aux opérations sur le terrain.

Nous adressons également des demandes aux bailleurs de fonds institutionnels pour obtenir les financements nécessaires  aux opérations militaires.

Nous préconisons que l’ensemble des forces internationales soit présente sur le territoire centrafricain pour une durée au moins égale à 10 ans pour permettre la restructuration des forces armées centrafricaines, le retour d’une sécurité pérenne et d’une économie croissante.

La République Centrafricaine est un pays aux atouts considérables qui dans des conditions normalisées de sécurité et de bonne gouvernance devrait pouvoir financer les opérations nécessaires à sa propre  sécurité.

 

Notre positionnement

 

Nous voulons ici affirmer notre détermination à œuvrer et à contribuer à l’atteinte de notre objectif : le retour de la sécurité en République Centrafricaine.

Au travers du fonds de dotation « I LÖNDÖ ! » nous sommes disposés à  travailler de concert avec toutes les parties qui pourraient nous soutenir  dans notre démarche. Pour cela et dans un premier temps, nous avons fait appel à la communauté centrafricaine afin de collecter des fonds que nous mettrons à la disposition  des organismes tels que le GIC-RCA en charge du financement des opérations militaires internationales.

Nous pensons qu’aucune solution efficace ne peut être trouvée en dehors des instances internationales que nous sollicitons en première intention.  Nous continuons d’étudier toutes les voies alternatives qui permettront d’atteindre notre objectif affiché. Nous n’excluons pas le dialogue direct avec les mercenaires de la SELEKA dont la seule motivation est l’appât du gain.

Nous précisons que notre action est civique. Nous n’entendons pas nous substituer aux organes représentatifs de la République Centrafricaine avec qui toutes les démarches directement liées à la souveraineté nationale devront être conduites.

 

Fonds de dotation « I LÖNDÖ ! »

88 ter, avenue du Général Leclerc – 92100 Boulogne Billancourt – France

Tel : + 33 (0) 6.98.08.93.14  /  mail : contacts@ilondo.com

 

 


04/08/2013
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PLANQUE TOI MINABLE SURUNGBA ARRIVE !

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Le Conseiller national, représentant les Centrafricains d’Europe, Monsieur SAULET SURUNGBA Clotaire, membre du Conseil National de Transition (CNT),  fera  un compte rendu des travaux du CNT et répondra aux questions de l’assistance au cours d’une conférence – débat.

 

MARDI 13 AOÛT 2013  DE 14 H 00 A 16 H 30

A LA BOURSE DU TRAVAIL DE PARIS  

3, RUE DU CHATEAU D’EAU – 75010 PARIS

METRO : REPUBLIQUE

 

Tout le monde sait que le CNT regorge de situationnistes plus préoccupés des augmentations et indemnités liées à leur fonction qu'à défendre les causes les plus préoccupantes de l'heure.

Il sera donc l'occasion de demander à ce représentant du CNT de nous expliquer le pourquoi de son mutisme en tant que représentant de la diaspora face aux exactions et actes de barbaries de la Séléka. Pourquoi les membres du bureau du CNT n'ont pas participé au vote de la charte constitutionnelle. Ce geste ne cache t-il pas un réelle désinteret pour les causes nationales et ne met t-il pas  à jour non seulement les intentions cachées des membres du bureau du CNT mais aussi des autorités armées de la Séléka d'utiliser  moyens tout moyen possible pour se maintenir au pouvoir au delà de 2016 ?

Et puisque SURUNGBA tout comme GUENDET des arrivistes ayant été élus dans des conditions pas très démocratiques, n'est-on pas en mesure de penser qu'ils ne nous représentent pas vraiment mais plutôt leurs interêts ? Et pour aller loin dans cette affirmation, ont-ils réellement l'intention de jouer le rôle de contre-poids du pouvoir exécutif ou simplement être des béni oui oui du pouvoir séléka.

Et quelles sont les mesures qui ont été proposées jusqu'à présent par le CNT pour sécuriser nos frontieres et nos zones minières et diamantifères ? Nos juges et Magistrats dans l'arrière pays sont remplacés par des chefs de guerre séléka qui jouent aussi le rôle de percepteurs d'impôt.Qu'en pensent le CNT et le Ministre de la justice et de moralisation ?

M.Séndé a t-il mis à la disposition du CNT les vrais chiffres des tueries et crimes commis par la séléka en RCA puisqu'il ne reconnait pas les chiffres avancés par la FIDH ?

 

Autant de questions qu'il serait important de poser à ce Monsieur qui ces derniers temps fait des déclarations ambigues qui tendent à encenser les pouvoirs de transition en RCA.

 

La Redaction


03/08/2013
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APPEL A CANDIDATURE COOPI-UNICEF RCA

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Date de publication : 29/07/2013 - Expiration :15/08/2013

Informations générales

Entreprise

COOPI - RCA

Lieu

Villes de Obo, Mboki et Zemio, Haut Mbomou - RCA (République Centrafricaine)

Type de contrat

CDD

 

Fonction :

Gestion / Comptabilité / Finance

 

Secteur d'activité

Autres

 

 

Présentation entreprise

 

Description du poste

 

COOPI est une organisation non gouvernementale italienne, indépendante et laïque, engagée dans la lutte contre les injustices sociales et la pauvreté dans le Sud du monde et dans la construction d’un futur dans lequel soient garantis pour tous de bonnes conditions de vie, le respect des droits et la parité des opportunités.

 

Depuis 1974 COOPI travaille en RCA pour un développement harmonieux et complet, en faveur tant des individus que des communautés locales. En ce qui concerne les secteurs d’intervention, l’engagement vis-à-vis des réalités locales a encouragé COOPI à établir des plans et à implémenter des projets de développement dans le domaine social, économique, sanitaire, environnemental et de la formation. Les situations de conflit ont amené à la décision de se faire charge de projets d’urgence et de réhabilitation, qui sont aujourd’hui devenus un autre secteur spécifique d’intervention dans le Pays. Grâce à la présence consolidée et constante, ainsi qu’aux relations avec les institutions, les organisations non gouvernementales et les communautés locales, COOPI est reconnue comme un des points de référence pour la coopération internationale en RCA.

 

Description du Projet

 

Prise en charge Holistique des communautés vulnérable dans l’Haut Mbomou pour la revitalisation économique et sociale et l’augmentation de la résilience aux urgences.

 

Objectif et résultats demandés

 

Assurer le bon déroulement du projet du point de vue administratif, collaboration avec le chef de projet et le logisticien du projet dans les activités d’attribution de marché aux entreprises sous traités pour la construction des œuvres communautaires.

Responsabilités :

Supervision des aspects économiques et financiers concernant les activités des projets Coopi auxquels vous êtes affectés :

Supervision de la correcte gestion de la comptabilité des projets COOPI, en conformité avec les procédures de Coopi et des bailleurs de fonds.

 

Supervision de la correcte gestion de la trésorerie des projets, en collaboration avec le Chef de Projet.
Mise à jour régulière des données financières du projet en conformité avec les données financières de l’Administration Pays.

 

Vérification avec le Chef de Projet et présentation à l’Administrateur pays du prévisionnel de dépenses mensuelle visant à la requête mensuelle des fonds.

 

Garantir le financement aux projets à travers les fiches de financement, tout en respectant le prévisionnel de dépense élaboré avec le Chef de Projet.

Mise à jour régulière des instruments comptables et informatiques de comptabilité des projets
Vérification du respect des procédures d’achat.

Contrôle des pièces justificatives, des contrats avec les fournisseurs ; vérifier le respect de la loi fiscale.

Garantir le passage des consignes administratives, comptables et financière entre chefs de projet (sortant et entrant) et/ou entre comptables.

 

Supervision de la gestion administrative du personnel national des projets en conformité avec le Code du Travail du pays et le manuel RH Coopi (contrat, paiement des taxes…).
Préparation des communications aux bailleurs de fonds, des modifications budgétaires et d’avenants, en collaboration avec le Chef de Projet et sous la supervision de l’Administrateur Pays.

Rédaction des rapports financiers intermédiaires et finaux des projets en collaboration avec le Chef de Projet et sous la supervision de l’Administrateur Pays.

 

Préparation de la documentation pour les audits du projet en collaboration avec le Chef de Projet et sous la supervision de l’Administrateur Pays.

 

Collaboration à la mise à jour des instruments informatiques de la Coordination Administrative (Prévisionnel Pays, Merlino Coordination, Camelot, …).

 

Collaboration à la mise à jour des inventaires des biens (propriété Coopi et projet) avec la logistique.
Archivage électronique des documents administratifs et comptables du projet en collaboration avec le Chef de Projet, surtout à la fin du projet.

Toute autre tâche confiée dans le cadre du poste et des compétences

— l’exécution d’autres tâches pour le progrès des Projets COOPI, ou pour l’amélioration des conditions de travail dans les bases d’affectation, sur demande de la Coordination de COOPI à Bangui ;

— Exécuter d’autres tâches pour le développement des Projets COOPI dans la Zone d’intervention du projet, sur demande de la Coordination Pays

 

Profil recherché

 

Informations générales

Entreprise

COOPI - RCA

Lieu

Villes de Obo, Mboki et Zemio, Haut Mbomou - RCA (République Centrafricaine)

Type de contrat

CDD

 

Fonction :

Gestion / Comptabilité / Finance

 

Secteur d'activité

Autres

 

 

1) Formation : Formation supérieure en gestion (filière financière) de type Ecole de Commerce

2) Expérience significative de gestion administrative de projets d’urgence

3) Au moins 2 ans d’expérience dans le domaine de la gestion admin ou expérience

4) Compétences et connaissances des procédures ECHO

5) Bonne maîtrise des logiciels courants (Word, Excel, Power Point, SAGA)

6) Compétences en gestion des ressources humaines et Capacité à travailler en équipe

7) Maîtrise du Français indispensable

 

Moyens et outils

 

Ils seront mis à disposition par le Projet et la Coordination pays.

Organisation et coordination

L’interlocuteur direct est le chef de projet

 

Durée du contrat

12 mois dès que possible

 

Documents à envoyer

CV

Email de la personne contact

selezione@coopi.org

 

Postuler à cette offre sur le site du recruteur

 


30/07/2013
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DES CENTRAFRICAINS S'ORGANISENT POUR DEFENDRE LEURS DROITS

Devant le silence posthume de la Société civile, de M.Joseph BINDOUMI président de la ligue Centrafricaine des Droits de l'Homme (LCDH) et de Maître Nicola TIANGAYE Avocat spécialiste des Droits de l'Homme et Président fondateur de la LCDH face aux violations des Droits Humains dont  sont victimes les centrafricains dans leur quotidien, des compatriotes se mobilisent activement pour aider les centrafricains à retrouver leur dignité. Tel est l'exemple de l'organisation Civile pour la Paix et la Defense des Droits de l'Homme qui vient d'être créer et dont vous trouver ci-dessous les objectifs, les Statut et le formulaire d'Adhésion. 

 

Statuts_OCPDDHC.pdf

FORMULAIRE-D--ADHESION.pdf

 

 

Centrafricaines, Centrafricains et amis de Centrafrique,

 

Dès la prise du pouvoir par les rebelles de la coalition séléka le 24 mars 2013 et ce jusqu'aujourd'hui, nos frères et sœurs vivant sur notre territoire national survivent dans la peur d'un lendemain plus sombre. Beaucoup de crimes ont été commis et beaucoup de violations des droits fondamentaux ont été relevées. Devant cette situation et,

Vu l'incapacité totale des autorités politiques à faire stopper l'hémorragie et panser les plaies des Centrafricains,

Vu l'impuissance ou le dépassement des entités œuvrant actuellement pour la défense des droits de l'homme en République Centrafricaine et,

Constatant que nos frères et sœurs continuent, encore aujourd'hui, de subir ces violations crapuleuses de leurs droits fondamentaux, avons décidé de créer l'Organisation Civile pour la Paix et la Défense des Droits de l'Homme en Centrafrique (OCPDDHC).

La OCPDHC est une association apolitique et à but non lucratif. Comme vous le saurez par la lecture de nos statuts, l'OCPDDHC s'est donnée comme mission de:

  • Lutter contre la violence sous toutes ses formes
  • Promouvoir les droits de l’Homme et l’Etat de droit
  • Defendre et protéger les droits de l’Homme et les libertés fondamentales
  •  Lutter contre la corruption sous toutes ses formes
  • Promouvoir la bonne gouvernance et la transparence
  • Œuvrer pour l’insertion sociale des victimes des conflits en République Centrafricaine
  • S’activer au tour des questions liées au genre
  • Combattre la discrimination sous toutes ses formes
  •  Promouvoir le développement économique et social durable
  • Œuvrer en faveur des personnes vulnérables.

 

Comme vous pouvez le constater, la liste des tâches est suffisamment longue. Il est donc évident que nous avons besoin de ressources humaines, matérielles et financières pour accomplir cette mission.

Pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, nous sollicitons, par cet e-mail, votre adhésion à OCPDDHC, pour qu'ensemble nous aidions nos frères et sœurs à traverser ce moment difficile.

Nous vous adressons, joints à cet e-mail, une copie de nos statuts ainsi que le bulletin d'adhésion à l'association.

 

 

Faisons le pour l'Amour de la Centrafrique!

 

 

Très cordialement,

 

 

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Yannick Avelin Sereckissy

Association OCPDDHC - Secrétaire Général

23500 Colonial parkway Katy, TX

Mail:  yannick.sereckissy@ocpddhc.org


30/06/2013
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